mardi 31 août 2010

Bonjour à tous.

Pour beaucoup le Blues ce résume à un Black qui gratouille 2/3 accords en se lamentant sur la pluie qui tombe.

Même si ca à son charme, c’est un peu désuet.

Je vais donc essayer de vous présenter quelques albums un peu plus pêchus qui donnent une place belle aux soli de guitares.



En Préambule :

- 1er : Il s’agit ici d'une opinion personnelle, histoire de gout là ou je vois puissance et hargne vous entendrez peut être que du bruit et ce qui pour moi sonne comme de la guimauve peut être pour vous la manifestation profonde et retenue d’émotions.

- 2eme : Régalez vous, amusez-vous et partager vos gouts, échangez, communiquez et exprimez vous, ne restez pas amorphe ce serait tout le contraire de ce que vais vous présentez. « Keep Alive ».


SAV: Mettre la musique avant de lire pour + de "relief"

vendredi 27 août 2010

In Memory

J’ouvre une série de 16 albums.


en Hommage à celui qui nous à quitté brutalement le 27.08.90.












Rien à dire... merçi pour ce tu as apporté à la guitare et à la musique.

Stevie Ray Vaughan



Prism

Philip Sayce Group - Philip Sayce Group

S

Le C.V.


Passage obligé pour cet hommage, je vous replonge dans l’univers gonflé de déci belles d’une Stat 63 Série L.

Philip Sayce Group (97)

Hein ! C’est quoi cet album ?
Je ne comprend plus rien !

En fait c’est plus un Master qu’un 1er album, sortis à 5000 copies en 97, composé à l’origine 6 titres sous le nom "Grey City Storm" et rallongés à 12 titres, introuvable et tellement rare que je ne suis pas sure qu’il figure dans sa discographie officielle, il lui permit de devenir le Sidmenan de Jeff Healey à partir de 98.

Album gargantuesque de guitare.
Avec ces accroches d’entames fabuleuses de vigueur, ces riffs passionnants et ces départs de soli presque tous différents, ça poussent vraiment très fort.

Les sonorités sursaturées atteignent des sommets, pure délire d’un guitariste hors norme qui déploie toute la palette de son talent, virevoltant de tune aigué et de riffs sourds sur "Brown Sugar" (1er Titre), véritable démonstration de rapidité d’un Shuffle boosté à la Tony Spinner sur "Walk a Mile"(2eme) ou profondement blues avec ce "Backwater Blues" (3eme) simplement hors catégorie, on a là un amoureux de la Strat, de ce son vif, acerbe et tranchant comme celui à qui je rend hommage.











Pré-écoute: 3 Titres

Coté critique (pour moi): A ne pas considérer artistiquement comme un album, mais plutot,comme un ensemble non homogène de titres de références guitaristiques, un C.V. (hic !!)

Link: 143

Tony Spinner - Rollin' & Tumblin' with the Blues

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Nuance.
Phénomène de mode ou besoin de s’assagir, c’est emprunt d’une soul bluesy Southern, fine, tout en nuance, magnifique d’intention et de légèreté, qu’il nous propose cet exercice de style tout en retenue, ou le swing et le groove old school prédomine aux détriments des débordements de soli qui ont, quelque peu délaissés leur acidité au profit d’une adaptabilité du jeu.

Rollin' & Tumblin' with the Blues (09)

Plus policé donc, il nous prouve qu’il est bien plus qu’une bête de scène et un déferlement fulgurant, nasillard et incisif de notes, il nos offre là, une guitare de chorus armés de déclinés et de notes en appels auxquels on rajoute un son plus ample, moins crispant, ce qui rend les contre- attaques plus souples.
Volonté d’une maturité sonore.
Cela nous permet de déguster quelques titres « hors normes » comme ce fantastique "Listen to your Heart "de 8’18 ( 2e en écoute) entre autres et de ressentir l’envoutement d’un Blues particulièrement intense.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : On est limite Southern Sound, heureusement les titres de la fin rattrapent le tout.


Link 142

Eric Gales - Relentless

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Fait pas beau pour la saison !!

On va se réchauffer, avec le dernier Opus d’Eric qui est une explosion de guitare suralimentée.
Se rapprochant d’un Craig Erikson pour le travail sonore d’une richesse exceptionnelle, son groove de riffs bien lourd donne un aspect percutant à des compos remarquablement soutenues par un jeu de batterie de très grande qualité.

Relentless 2010

Les envolées de soli de tout cotés violent presque les lois de la gravité, ami du Gospel et du Bluegrass passe ton chemin car tu vas t’enrhumer à rester au bord de la route au passage de ce bolide bi-turbo straté qui dévore aussi bien les décibelles que les accords conventionnées.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Compos qui dégoulinent tellement de rappels intempestifs de chorus de guitare qu’on en devient aussi saturé que sa guitare, un comble.

Link 138

Archives: The Psychedelic Underground 2007

Van Wilks - Texas Jukin'

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From Austin, TX.

Référence du cru depuis 30 ans au même titre qu’un Billy Gibbons (ZZ Top & best friend) ou qu’un Bugs Henderson, il va nous ramener au Boogie Blues tamponné Gibson à la sauce Texane.

Texas Jukin' (02)

On a affaire à un technicien irréprochable du jeu de corde placé/posé, académique il nous fait apprécier la sonorité de ses riffs étouffés made ZZ Top, et de ses soli diablement efficaces qui s’enroulent autour de bends (tirage de corde) rauques et fuzzants et de relance de notes.
Partition sonore savoureuse qui se prend un peu les pieds dans le tapis lorsqu’il se risque à d’autre rythmes que le Boogie Chillen revisité.

Note: Co-inventeur de ce son ZZ Top avec Billy Gibbons, il a créé un standart sonore sans pouvoir en bénéficié dans ces propres compos tellement le mimétisme est flagrant.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi): Les pseudos "balades inspirées" font plouf, la voix comme le jeu de guitare sont insuffisant pour soutenir des compos insipides.


Link 144


Le prof.

Rendons à César ce qu'il lui appartient, car Van Wilks a contribué énormément à la scéne Blues Rock Texane.

Van Wilks - Live Quasimodo Berlin (09.06.07)

Exemple de ce que ca donne sur scéne, pourtant, il paye par de mine quand on le voit, pas de signe ostensible, limite on le prendrait pour un prof d'école....mais il est, et reste, terriblement efficace avec sa bonhommie et son air de pas y toucher.











Pré-écoute: 2 Titres

Indigenous - Indigenous

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Plus besoin de vous présentez ce son ronflant et puissant capable d’éclipser un Airbus en train de décoller.

Indigenous (2003)

Peut être leur meilleur album à ce jour, assourdissant d’accords sur-gonflés qui martèlent incessamment des mélodies qui n’en peuvent plus de contenir une guitare si lourde et omniprésente qu’elle engloutie tout pour exploser en soli tonitruants, s’éparpillants et dégoulinants le long d’enceintes au bord de la rupture.
Album très homogène de compos extraordinaires, véritable boulevards à guitares ou on retrouvera aisément l’influence du Master Commander Texan qui marqua tellement de guitariste.
Note : Sélection difficile de 3 Titres l’ envoutant "Hold on", le riffé "I’m still here" et le Blues "I wonder"











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Très belles compos quoique qu’un peu toujours les mêmes Riffs, mais toujours le meme regret : il en garde sous la pédale, il se lache pas.

Link 141

Eric Steckel - High Action (04)

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Ca Pouponne

Bebé virtuose au 1er album à 11 ans, engagé par John Mayall à 12 ans au sein des Bluesbreakers sur la tournée Scandinave et sur son album "Road Dogs " de 2005, il ne cesse d émerveiller par son aisance et sa facilité.

High Action (04)

Bien...agé de 13 ans pour ce second album, ça calme.

Gros son Vaughan d E.Flat en point de mire, il nous délivre des soli académiques dans la plus pure tradition des "guitar héro" d’une efficacité surprenante et qui en fait un gamin à suivre.

Bien sur vu son très jeune age, sa voix est quelque peu enfantine et son jeu ultra percutant est un peu ampoulé et immature mais il y a chez lui une très grande classe.
Note:1er Titres et surtout 3e (Born Under a Bad Sign) sont des instrumentaux.











Pré-écoute: 3 Titres

Coté critique (pour moi) : Jeu un peu stéréotypé guitar lesson et voix de minaux, mais bon, 13 ans... alors respect.

Link 145

Rob Tognoni Band - Live at the Twilight

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Efficace

Véritablement acharné sur son manche, voici un Live suintant de Riffs arrachés, de soli secs et tranchants, de rythmiques binaires sans fioritures ….du Vrai Rock,

Live at the Twilight (99)

On est loin de ses premiers essais de chanteurs avec the Outlaws ou The Angels (Aka Angels City), de sa voix rêche légèrement éraillé il suit ses accords uppercuts (héritage ACDC) créant un Rock puissant, simple et direct, qui accroche et vous marque par quelque chose de rare : son authenticité.
J’ai choisi ce Live parmi d’autres parce que sa Playlist est riche, le Rock comme on l'aime comme ce "Black & White" (1er Titre), mais admiré ce swing "Lil Melody" (2e écoute) ou ce "Crossword Blues" (3e) de Dave Hole qui l’a lancé.
Rien à dire.











Pré-écoute: 3 Titres

Coté critique (pour moi): Tire un peu trop vers les aigues, mais quelle puissance musicale.


Link 140

Chris Aaron Band - Born with the Blues

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Le complet

En introduisant en 99 ses coups de guitare à la hache (« axeslinger ») dans des compos endiablées de Rythm’ Blues sur fond de Big Band, il réussit à trouver un équilibre entre BB King et SRV.

Born with the Blues (97)

Son 1er Album est gavé de riffs et de soli, et cette réédition de 2007 (avec 2 titres en +) ravira les fans du Swing bondissant d’une guitare au son Texan qui en impulsant la cadence à coup d’accords et aidé par la voix de Corey Sterling (ex Kenny Wayne Shepherd Band) et du magistral Bill Lordan (batteur de Robin Trower) donne un sacré coup de jeune aux orchestres à instruments à vent.
Il n’en oublie pas pour autant de nous asséner au passage la tonitruante démonstration « Mo’Money »,(Titre 2 en écoute) pur jus Power Trio qui par la fulgurance de son arrache précise à qui on a affaire.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Le coté Big Band avec les instruments à vent.

Link 137

Young Neal & the Vipers - One's Enough

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Esprit du Rock R&B

Revenons au R’B et au Rock limite "à Billy" avec Neal Vitullo.
Pendant vitaminé d’un Jimmy Vaughan et d’une tradition 50’s galvanisée à coup de croches stratifié de soli et malmenant gentiment cette rythmique binaire tant éculée martelé au son d’une demi caisse claire popularisé par les Stray Cats de Brian Setzer.

One's Enough (98)

5eme Album un peu plus pêchus que les autres, avec quelques parties de guitare sympas ou, on percoit la tradition mais aussi l'apport de SRV à ce style musical.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi): Compos creuses et sonorité limite "Shadows" désuette.

Link 146

Sunset Heights - Born in Houston Live

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Explosant littéralement les frontières du son en concerts,Vince Converse au sein des Sunset Heights nous gratifia de ce Live hors du commun qui reflétait la majestueuse et vociférante guitare qu’il maniait à l’époque.

Born in Houston Live (1995)

Profusion de sonorités post Hendrixienne,de Riffs et d’arraches décapantes qui nous bousculent, nous entrainent dans un autre univers jusqu’à nous amener à un titre de 16Min confusion d’un Hey joe/ Third Sone hors du commun et des conventions.

Peu depuis on suscité tant d’engouements face à eux en concert, en cela cet album ouvre parfaitement la voix à cet hommage.

Un de mes 50 préférés.











Pre-écoute:4 Titres

Coté critique (pour moi) : Live de 7 Titres, beaucoup trop court tellement il est extraordinaire.

Chris Anderson - Old Friend

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Performance.

Son cristallin maintenant pour cet hommage, celle magique d’une strat fantastique du 1er Opus d’un Roadie Sideman (2d guitariste) du Southern Rock (Allamn, Outlaws, Blackhawk, Lynyrd etc…)

Old Friend (1995)

Et oui, vous allez encore voyager.
Jeu magistral de finesse et de justesse, certains Titres risquent de vous rester collé à la peau comme ce fumeux « Old Friend » duo de guitares superbe liant 2 potes (heuh…l’autre n’est que Warren Haynes Glups), d’autres vous laisseront admiratif par la parfaite clarté des enchainés de soli ou la pureté du rendu de ce jeu qui témoigne d’une maturité et d’une connaissance musicale exceptionnelle.
Moi, j’en redemande.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Choc brutales de compos magistrales et soporifiques, mais fantastique rendu du jeu clair. Véritable succession d’exploits techniques et de performances, bonjour le travail pour arriver à ça.

Link 145

Uwe Herr & the Muddy Boots - 13 Years

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L'Aphone .

S’il a fait ses armes au sein des Cadillac Blues Band entre 89 et 98 pour ensuite nous faire un Rockabilly tout mou, c’est avec un certain succés qu’il revient au Blues Rock à partir de 2001.

13 Years (02)

Guitare sonnante riffée made in Texas, sèche et précise pour son retour en solo.
De suite on est frappé par sa voix catastrophique et on à un peu honte d’oser pousser le volume tellement c’est …..faux.
Passons outre (pour ceux qui peuvent), le jeu de guitare est honnête pour un sideman, nous gratifiant de jolies petit soli mais montre ses limites pour enlever des compos qui pourraient soutenir une de ces grosses guitares fuzzantes qu’on connait.
Heureusement le fantastique travail en rythmique de sa guitare fait merveille et sauvent quelques compos.











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Dure de passer de Guitariste de Band à Soliste.
La carence vocale est rédhibitoire et gâche tout, seul solution beaucoup moins chanté ou rester dans des tonalités vocales de Phrasé avec un trés gros son masquant les faussetés.

Link 147

Peter Garstenauer - Ain't that Blues

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Cactus man.

Encore un Australien, Vitaminé Johnny Winter et SRV, qui du fin fond de sa campagne c’est fait remarqué par le dinosaure Texan Bugs Henderson.

Ain't that Blues (95)

Son 1er album est rare, d’une très grande classe et frise le myhique.
Voulant délibérément échappé au clonage SRV, il nous délivre un Blues Rock dépouillé ou sa Strat pur, tune avec délice en sonorité clarifié de vérité, nous faisant percevoir la qualité de son jeu emplit de finesse et de douceur.
Ainsi quelques morceaux majestueux égraine ce cd, comme ce magique "Too much sugar" (3e en écoute) » ou cette reprise extrêmement original et réussite de "Purple Haze" (2e) qui fera beaucoup d’émules.
Coup de maitre pour ce 1er album, bide commercial qui le poussa pas la suite à faire beaucoup plus soft coté guitare. Quel gâchis.











Pré-écoute: 3 Titres

Coté critique (pour moi) : Il y a de la Magie dans cet album, une patte d’exception. Il lui a manqué un Titre tonitruant de guitare saturé pour explosé et lui permettre de sortir de l’atmosphère de confidentialité que l’on ressent à son écoute.

Scott Holt - Dark of the Night

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Guitariste rythmique de Buddy Guy de 89 à 99, Scott Holt s’envole alors vers une carrière solo prometteuse avec un 1er album en 98 confidentiel et un peu brouillon pour sortir en 99 un 2e Opus magistral.

Dark of the Night (99)

2e Album et la consécration.
Les mélodies bluesy légèrement Flower Power et les fuzz aux intonations de Gospel sont bouleversés par des chorus trainants à la Jeff Healey et des soli somptueux de finesse et d’impact (école Buddy Guy), mais également de part le coulé de notes en contremesure de très haut vol, ce qui en fait un album remarquablement construit, plein de Hits de blues de 1er ordre comme ce petit bijoux de duo (titre 2 en écoute).











Pré-écoute: 2 Titres

Cote critique (pour moi) : Les 2 reprises d’Hendrix , heuh…..on oublie tés vite.


Link 139

Monti Amundson - Man on the Floor

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Surnommé "Big Monti " vu sa carrure imposante, c' est en s’implantant à Amsterdam en 92 que sa carrière commence à décoller,
Délaissant son Portalnd natale et les sons éculés du Rock’n Roll traditionnel, les scènes Européennes le vire avec engouement produire ce son Vaughanien qui commençait à trouver de + en + de fans.
Surfant sur cette vague et un très grand nombre de show, le nombre de ces fans cru suffisamment pour lui permettre de sortir des albums.

Man on the Floor (96)

Second album, 100% son Vaughan, d’une très grande homogénéité, qui aborde avec réussite les différents canons du style.
Les Riffs et accords vibrent à la perfection et les soli, sobres et superbes d’efficacité font mouche et la voix (pour une fois) est au niveau du reste.
Un petit plaisir sans prétention qui se déguste avec joie.












Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi): Sobriété des soli ou limite guitaristique?

jeudi 24 juin 2010

Fernando Noronha & Black Soul - Blues from Hell

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Spirit

Je vous le ramène pour finir cet hommage, avec son cocktail de soli d’Eflat (type d’accordage) qui transpirent d’inspiration Vaughan et de talent.

Blues from Hell (00)

Suintant d’accords secs, chaque compos se retrouve propulsée par de magnifiques envolées de soli, ponctué par un clavier en soutien des sonorités sur-aigues, l'ensemble devient particulièrement savourex dés lors que notre hote se lance dans une calvacade guitaristique effrainée à la poursuite de son idole.











Pré-écoute: 3 Titres

Coté critique (Pour moi): Le clavier en soutien. Mixage studio qui gomme les soli de fin.

mardi 8 juin 2010

W.T. Feaster - Long Overture

Surprenant.

Nouveau, venue tout droit d’Indianapolis, Travis Feaster, jeune prodige, nous offre un Blues Soul/Rock/Jazz de qualité aux intonations Southern sur des compos très différentes.

Long Overture (2007)

Différents styles: Rythm’ blues de bonnes factures avec des soli superbes qui s’intègrent aux mélodies avec un soin remarquable, Rock Sudiste ou sa voix fait la différence, mais c’est surtout sur les titres de Blues, ou sa guitare devenant magistrale, se révèle un talent immense.
Combinant un feeling et une technique rare, il décoche des soli d’une grande puissance pour amener ces titres à un niveau d’intensité peu commun.("Walk on" titre 2 en écoute).











Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique(pour moi): Attaques superbes des 6 Cordes mais compos un chouilla ternes, lissée par l'emploi d'un orgue qui ote un peu de relief.


Link 136

Wolf Mail - Electric Love Soul

Tout en "Ruptures".

S’il a passé dans sa jeunesse quelque temps du coté de Montpellier c’est surtout à l’âge de 19 ans en travaillant avec Ozzy Osborne et en remplaçant Steve Stevens au coté de Billy Idol qu’il c’est fait remarqué.
Puriste à la Roy Buchanan et intense à la Johnny Winter, il nous livre des productions ou prédomine le fond sur la forme, nous gratifiant de soli pointus bien placés.

Electric Love Soul (10)

Slowly, ca va pas vous réveillez le matin.
On appréciera, malgré une voix limite quand il pousse, un jeu tout en finesse construit sur des accroches slow play, des contretemps et ruptures (sans atteindre le niveau du Master Chris Duarte) et des fuzz son clair qui ne demandent qu’à fulminer en soli.












Pré-écoute: 2 Titres

Coté critique (pour moi) : Ca ronronne un peu doucettement quand meme, et les ruptures sont trop nombreuses, ce qui bouffe complètement des mélodies.

Link 133

Solid Ground (2002)
Blue Fix (2005)