Pas à dire il y a du swing chez Vdelli mêlant le soul/funk qu’il écoutait enfant au Blues, cet Australien à un touché rare qui lui permet de servir de la guimauve dans un plat d’argent, alors le reste...imaginez.
Porté par un son mi clair, il reprend dans un style soft quelques grands standards, sa voix servant merveilleusement d’attache aux fulgurances de sa Les Paul qui fait très mal lorsque qu’il la fait la fait respirer.
Live at the Indian Ocean Hotel 2001
Polyvalence étonnante, je vous propose de juger par vous-même avec ce Double Live qui en surprendra plus d’un par le registre abordé.Percutant et musicalement très léchés, un vrai plaisir,à t’elle point que j’ai eu du mal à sélectionné 2 titres.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhtTdAtKnTA0sgI-l_3DQ9L0hm2WVsB9nR0txgA5MG_bD0ueqIATyloP_C2ix89d_XF0QRAa_pEjc-46nE6gCZk-W3dTOYXTNe3JAXbOw0MbxLgohRgACHJgdpwv9zpELaO2cpgMR3DUYe6/s320/Live+At+The+Indian+Ocean+Hotel.jpg)
Pré-écoute: 2 Titres
Coté critique (pour moi):Pendant de l’exercice, la reprise de standards est dangereuse malgré la maitrise du rythme et des accords quand on attaque les soli (cf :Couldn’t stop the Weather).
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Ain't Bringing me Down 2009
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