Efficacité garantie, simple et direct. Avec lui, pas besoin de pléthore d’effets, 2 ou 3 accords frappés juste dans le bon tempo, chorus et solos de pairs et voilà.
Enfin c’est vite dit çà, car, si avec lui on retrouve le vrai feeling du Rock, on sent une énorme expérience de la scène, une capacité fantastique à arracher notes, accords et à placé sa voix au niveau de son jeu à la fois rugueux et soft,une gageure artistique que peu on réussit, alors chapeau-bas.
Headstrong 1997
2eme albums de sa discographie, je l’ai choisi car il passe en revu avec brio un certain nombre de styles, s’appropriant magistralement au passage un titre de Tony Joe White un vrai défit.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieTYdtzDETyEur0Gze1y7mFLiDw3WaVMMZ533H8UZacOFs1w8oEX6QvSG3Nm26Bpuc-zTkGaRFIhoRndoJoVB93ea6Il1QD8p3-fq43GGaZginPvMNoaXiyQsa12yCy6WNpEb_Nz3FRI0d/s320/Rob_Tognoni_Band_-_Headstrong_-_Front.jpg)
Pré-écoute : 2 Titres
Coté critique (pour moi) :Même s’il passe ses accords avec un feeling tel qu’on se demande en les reprenant si on a pas oublié quelque chose (Ben si patate... le talent ) on va pas vraiment s’émerveiller à l’écoute de ses solos et léger risque de linéarité dans les morceaux.
17
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire