L’indomptable : Vince Converse
Grand moment pour moi de vous présentez celui qui en 93/94 était le seul en Live à restituer la folie hendrixienne.
Sanglez votre ampli, préparez vos oreilles, regardez autour de vous calmement, constatez qu’il y avait un avant.Voici un délice sonore très peu connu, quasi introuvable et invendable, que seul une poignée d’initiés connaissent.
Texas Tea 1994
20 ans et un son rauque, empli d’un souffle énorme, une Strat dégoulinante de sueur, liquéfiée par un soleil brulant qui nous dessèche littéralement par ses soli.
Elle s’enchevêtre autour des compo tel un crotale et crache ses Riffs et ses sustend, resserrant son emprise, elle mord et vous injecte cette douce acidité à la fois légère telle les volutes de signaux Navaro et perfide tel l’aigle invisible à sa proie.
Une atmosphère unique, intemporelle et magique (Un de mes 100 préférés).
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6DcqmJN8VLRcjLmG4ZVfyf9Or33O9Lt-2w2rd7rJiuLdul7Oc234S3qJtseTOb3l28MrDgWb4M5a_D97ZkJPLrOX5bAaB-l7uJiNz0ac9gE9t72pKMwbNWacWh7dl7tr0WP-K7sFQAzsk/s320/Sunset+Heights+-.jpg)
Pré-écoute: 2 Titres
Coté critique (pour moi) : Sonne un peu creux, curieuse impression qu’il en a énormément sous le pied et se fais violence pour ne pas se lacher (je le prouverais bientôt).Son à la Robin Trower un peu trop stéréotypé.
Note : Cet artiste ne c’est pas trouvé et à explosé en vol, Je croise les doigts pour qu’il nous revienne.
50
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