21 ans, une voix de Coyote égaré, une aisance indéniable de la fourche à 6 branches, et voilà un 1er album looké comme un événement guitaristique qui sort en 2006.
Les accroches sont puissantes voires bluffantes, le rythme est tendu et effréné, sa guitare dégaine vite et vide son barillet d’effets sonores surprenants, ouah !, ca va vite, tellement vite…. attention! BING
White Heat 2006
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhE6r9bdRHJFv9hqMocu4faI-5U_npugRiOdIn0qNA1glJxHuohI76U8gNgq515gX22tHRWBL8J8sACf6PaKbPQIPiijD3is7AKvfsVEn3040tUuqIG8AUBQpIqZh_sibYtAcPOt9oX9rI6/s320/Cetan.jpg)
Pré-écoute: 2 Titres
Coté critique (pour moi):Passons outre la voix catastrophique (y’en a d’autres)
On se croyait à cheval, on est sur un poney, les compos sont avant tous des riffs rallongés à 2 mn, aucune ampleur de jeu, c’est une série désordonnée d’effets poncifs.
Alors pourquoi j’en parle ?
Débroussaillons l’inaudible, le titre 11 laisse entrevoir une lueur d’espoir pour l’avenir.
A surveiller car en murissant il peut faire très mal.
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